Accelerateur Festival

Le CIIF s’est associé à la Fondation CASELI pour développer et exécuter un accélérateur de festivals grâce à un partenariat entre des organisations en Haïti, au profit du soussecteur des festivals.

CASELI, en partenariat avec les associations : Caracoli et Tamise, proposera une formation Accélérateur avec une spécialisation en développement et gestion de festivals, ainsi qu’un module de développement professionnel. Le programme sera dispensé via des sessions de formation en ligne et en présentiel ainsi que des stages, des ateliers, des conférences et des réunions entre pairs. Le programme Accelerator explorera la durabilité grâce à la collaboration avec des projets CIIF pertinents axés sur les festivals et les carnavals, le tourisme des festivals et les institutions nationales, régionales et internationales pour faciliter le suivi des phases du projet.

Le paysage culturel haïtien se caractérise par des festivals qui font la fierté régionale ou citadine. Leurs modèles sont basés sur le potentiel de revenu des vendeurs et le soutien logistique, cependant, les modèles de festival ne sont pas conçus pour bénéficier explicitement aux praticiens créatifs. Le programme accélérateur formera ainsi trente (30) professionnels haïtiens, à la tête de festivals haïtiens reconnus pour créer des modèles évolutifs, reproductibles et lucratifs. Des experts seront également invités à suivre les participants désignés comme mentors. Enfin, leur réseau local et international de partenaires sera mobilisé à l’issue du programme et des Prix monétaires seront attribués.

Les bénéficiaires éligibles du programme CIIF Haiti Accelerator comprennent les ressortissants haïtiens ou les personnes résidant en Haïti. Dix (10) entités du festival seront sélectionnées via un processus de candidature selon une liste de critères définis convenus par les partenaires du projet. Les candidats retenus seront chacun invités à inscrire trois (3) représentants pour participer à la formation. Le programme ciblera deux niveaux de praticiens, ciblant un taux de participation d’au moins 50 % de femmes.